lendemains qui chantent
de Benjamin de la Fuente, Samuel Sighicelli, Benjamin Dupé, Mathieu Fèvre (2004)
Spectacle musical – 1h10
DESCRIPTIF
Bruts comme les cliquetis et martèlements d’une usine à sons …
Futuristes quand des zones magnétiques génèrent des buzzs saturés lorsqu’on les traverse…
Protéiformes quand la vitesse d’une marche sur le plateau entre dans la partition…
Envoûtants comme une fête techno à la sauvagerie scientifique…
Archaïques comme deux cordes pincées dont la résonance se confond avec l’éblouissement d’un plein feu… Etonnants par le détournement des instruments, des codes, et par la liberté des moyens d’expression utilisés, Les lendemains qui chantent tiennent d’un voyage initiatique, très ancien et foncièrement contemporain, qui invite à une pluralité d’écoutes et de regards.
DISTRIBUTION
Conception et direction : Sphota — Sighicelli, de la Fuente, Dupé, Fèvre
Regard extérieur: David Sighicelli
Guitare acoustique, guitare électrique, clarinette basse, clarinette si b, flûte, basse électrique, violon acoustique, traitement électronique, sampler, piano Rhodes, orgue Hammond, synthétiseur analogique, diffusion électroacoustique, scénographie sonorisée par capteurs, percussions, voix
Dispositif scénographique de Richard Peduzzi
Lumières de Lionel Spycher
Production et diffusion : Sphota, Festival Musica, Bonlieu Scène Nationale Annecy, MIA, avec le soutien technique de La Muse en Circuit — Laurent Sellier. Avec le soutien de la DRAC Rhône-Alpes, des festivals Why Note, Dijon, et 38èmes Rugissants, Grenoble, de l’ADAMI, de la SPEDIDAM. 22 septembre 2004 au Théâtre National de Strasbourg, Musica. 4 novembre 2004, Bonlieu Scène nationale, Annecy, MIA. 20 novembre 2004, Théâtre du Parvis Saint-Jean, Dijon, Why Note. 1er décembre 2004, MC2, Grenoble, 38èmes Rugissants. 16 avril 2005, Théâtre de la Cité Internationale, Paris, Itinéraire de nuit